lundi 26 juillet 2010

Valeria

Valeria,
Les lettres de ton nom
Glissent derrière tes yeux.
Le « r » roule sous ta langue innocente
Et le « a » claque sur ton palet.
Tu as le visage familier
D’une inconnue.
Ton regard se perd dans le vide,
Et le son de ta voix me berce.
La musique de tes paroles est chaleureuse
Et m’invite au voyage.
Ton cœur est à Rome
Et la mélancolie de te lâche pas.
Le soleil vient briller sur tes joues,
Tu esquisses un sourire,
Mais tu observes en silence.
Tu illumines chacun de tes pas,
Et tu prends celui de mon âme.
Tes lèvres se pinces, tes yeux se ferment
Assise dans l’herbe, vêtu de cette tunique grise,
Tu es jolie.
Valeria,
Mon cœur a bondi dés que je t’ai vu,
Ma plume s’est ancrée lorsque je t’ai en

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