samedi 17 juillet 2010

J'ai encore le coeur qui saigne un peu

Quand je regarde vos visages angéliques

Et juvéniles,

Vos traits de petites garces en force de l’âge,

De lolitas ignorantes,

Je deviens fou.

J’ai alors envie de flinguer ma solitude

A coup de je t’aime

Et de baisers fougueux.

Avez-vous conscience de votre beauté insolente,

De cette lueur dans vos yeux qui me sied,

De ces sourires qui m’enfoncent

Vers les bas fonds de la luxure.

Avez-vous conscience que vous êtes désirables,

Et que vous faites tourner la tête des hommes ?

Je pose sur vous des sentiments impudiques,

Mais vous êtes déjà amoureuses,

Hermétiques aux regards,

Aux cœurs sans âme.

Jeunes femmes,

Vous que je regarde,

Je vous le dis :

Vous êtes belles,

Terriblement belles,

Si belle,

Que tout autour devient laid.

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