Quand je regarde vos visages angéliques
Et juvéniles,
Vos traits de petites garces en force de l’âge,
De lolitas ignorantes,
Je deviens fou.
J’ai alors envie de flinguer ma solitude
A coup de je t’aime
Et de baisers fougueux.
Avez-vous conscience de votre beauté insolente,
De cette lueur dans vos yeux qui me sied,
De ces sourires qui m’enfoncent
Vers les bas fonds de la luxure.
Avez-vous conscience que vous êtes désirables,
Et que vous faites tourner la tête des hommes ?
Je pose sur vous des sentiments impudiques,
Mais vous êtes déjà amoureuses,
Hermétiques aux regards,
Aux cœurs sans âme.
Jeunes femmes,
Vous que je regarde,
Je vous le dis :
Vous êtes belles,
Terriblement belles,
Si belle,
Que tout autour devient laid.
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