Il me manque la douceur
D’une caresse de satin
D’une étreinte de coton
Que seul un être de femme peut m’offrir.
Ce n’est pas simplement un mot que l’on écrit
La passion, à force, se fane et s’évanouit
Mais goûter une fois à l’amour
C’est y goûter pour toujours.
Mon cœur crie famine
De ne pas être assez gavé de tendresse
Quand tout deviens dur
Ta présence invisible me torture.
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