Nous étions seul
chacun dans notre univers
regardant au loin mais ne voyant que la brume -
pas même l'ombre d'un rocher.
Moi le marin
toi la sirène
plongé dans la mélancolie
et la solitude
avec le regard de nos congénères
comme seul compagnie
et fardeau.
Las des tâches qui nous étaient réservées
nous avons dissipés la brume
et nous avons plongés ensemble
sans l'ombre d'un doute,
sans regarder vers la surface -
notre seul navire
sera le courant,
l'instinct de l’océan
qui coule dans nos veines.
samedi 17 août 2013
mardi 13 août 2013
L'avenir, mot passant
Tu as tant baissé ton collant,
décollant l'élastique dans ton bassin
pour le laisser couler le long de tes jambes
et découvrir le grain de beauté au dessus de ta cuisse.
Tu as tant abimé tes culottes,
sous les draps
sous les jeans
sous mes doigts
tu les as froissés
tachées mouillées
nettoyées.
Tu as tant attachés
puis détachés tes cheveux
tu les as tant coupés laissés pousser
ces cheveux noirs
comme des traits de fusain
arrachés du canson.
Tu m'as tant embrassé
et ce n'est que le début -
une nouvelle promesses est née
celle d'une petite Jeanne,
illusion d'une vie rêvée
que nous berçons
comme des poètes sous absinthe.
Tu as tant attendu
tu as tant douté
tu as tant haie -
dans tes bras
je reviendrais toujours.
décollant l'élastique dans ton bassin
pour le laisser couler le long de tes jambes
et découvrir le grain de beauté au dessus de ta cuisse.
Tu as tant abimé tes culottes,
sous les draps
sous les jeans
sous mes doigts
tu les as froissés
tachées mouillées
nettoyées.
Tu as tant attachés
puis détachés tes cheveux
tu les as tant coupés laissés pousser
ces cheveux noirs
comme des traits de fusain
arrachés du canson.
Tu m'as tant embrassé
et ce n'est que le début -
une nouvelle promesses est née
celle d'une petite Jeanne,
illusion d'une vie rêvée
que nous berçons
comme des poètes sous absinthe.
Tu as tant attendu
tu as tant douté
tu as tant haie -
dans tes bras
je reviendrais toujours.
Droit dans le mur, derrière il y a de la lumière
Nous sommes des lucioles
qui tapissons la nuit
de nos lumières évanouies -
les stroboscopes ne nous éblouissent plus,
nous dansons pour faire bonne figure
et observons l'avenir avec dédains.
Dans ce chaos,
nous attendons le bon moment
le bon endroit
la bonne personne
pour sauter dans le vide.
La bière à la main
le joint à la bouche,
nous rigolons.
Nous nous illuminons au rythme des choses
au rythme des événements
sur lesquels parfois
nos mains maladroites viennent se poser.
Nous dansons pour oublier
pour nous noyer dans le champs des possibles
regard perdu dans les étoiles
en allant pisser
et en déblatérant seul sur le trottoir.
Malgré tout,
notre cœur bat,
nous sommes des lucioles,
des vert luisant dans les faussés,
de ce que les gens regardent de haut
en disant avec admiration :
"Oh regardent, ils brillent encore".
qui tapissons la nuit
de nos lumières évanouies -
les stroboscopes ne nous éblouissent plus,
nous dansons pour faire bonne figure
et observons l'avenir avec dédains.
Dans ce chaos,
nous attendons le bon moment
le bon endroit
la bonne personne
pour sauter dans le vide.
La bière à la main
le joint à la bouche,
nous rigolons.
Nous nous illuminons au rythme des choses
au rythme des événements
sur lesquels parfois
nos mains maladroites viennent se poser.
Nous dansons pour oublier
pour nous noyer dans le champs des possibles
regard perdu dans les étoiles
en allant pisser
et en déblatérant seul sur le trottoir.
Malgré tout,
notre cœur bat,
nous sommes des lucioles,
des vert luisant dans les faussés,
de ce que les gens regardent de haut
en disant avec admiration :
"Oh regardent, ils brillent encore".
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